Le genre Ambient est assez difficile à déterminer ; on sait que c’est une variante assez « light » du genre électro.
C’est le chanteur et compositeur Brian Eno qui a la première fois évoqué ce terme pour définir sa musique, une sorte de musique d’ambiance, une musique que l’on écoute en fond sonore. On découvre qu’il n’y a quasiment pas de beat et que les nappes sont prédominantes.
Un terme singulier
La musique Ambient est un terme qui fut utilisé et se référence toujours à un moment précis de la musique électronique, à savoir les années 70. Or, à cette époque-ci, tout n’était pas instrumental contrairement à ce que l’on peut croire et tout n’était pas obligatoirement électronique ; quand vous écoutez Pink Floyd, Brian Eno, Tangerine Dream ou Harold Budd, les exemples se multiplient.
L’Ambient dans les 90’
Alors que la techno et la House font rage dans les différents clubs et autres raves, une nouvelle vague de compositeurs s’empare de la musique Ambient pour s’essayer à des expérimentations acoustiques. Les musiques de groupes tels que The Orb, The Future Sound of London et ensuite Aphex Twin ou Squarepusher renouent un peu avec le mouvement psychédélique et des ambiances un peu vaporeuses des années 70.
Mais c’est l’esthétique et la recherche en termes de percussions, d’atmosphères qui façonnent le nouveau visage de la musique Ambient.
Les années 2000
La musique Ambient connaît alors une mutation grâce à l’arrivée de nouveaux artistes mais surtout avec l’apparition de logiciels qui vont venir traiter le son de façon numérique. Tandis que la presse évoque le terme « electronica » pour la définir, l’Ambient reste un genre minimaliste avec des recherches sonores très poussées, notamment sur le plan de la texture.
‘Ambient est une musique considéré comme intellectuelle où chaque artiste explore une esthétique en travaillant avec les perceptions des auditeurs sur chaque son.