The last century

Une introduction au synthé assez futuriste avant un développement plus aérien et éthéré : clavier clair, notes au piano lentes qui prennent ensuite le devant, sons électro de fond qui s'estompent peu à peu.

Accueillis par son souffle rafraîchissant, nous nous laissons convaincre par ce court morceau dynamique, avec dominantes batterie et guitare électrique.

Une introduction aérienne, propice à la détente  et à l'imagination, avec sons longs, effets de réverbération.

C'est une ballade où les sons langoureux des violons se mêlent aux plaintes des keyboards en échos. L'ambiance est intimiste.

Thérémine, clavecin, orgue et junkyard de percussions donnent une musique étrange et mystérieuse qu'un Tim Burton n'aurait pas reniée. Les rythmiques puissantes donnent un côté moderne. 

Une guitare acoustique jazzy chante sa ballade bientôt rejointe par batterie et piano joyeux. Le morceau, très années trente, est teinté de nostalgie sans manquer cependant de bonne humeur ni d'entrain.

Une ambiance calme, posée, romantique pour cette balade qui appelle à l’apaisement, à la réflexion, au souvenir.

Un morceau drum'n'bass jungle qui joue sur les rythmes syncopés et une belle palette de sons électro rapides, déjantés sur une ligne de fond au synthé plus prolongée et tranquille.

Une composition basée sur des sons ténébreux, sauvages, un air de flûte aérien : l'orage gronde, des grognements se font entendre, des battements, des piétinements.

L'introduction est aérienne, douce, les synthés nous plongent dans un univers merveilleux. Puis le morceau s'intensifie en rythme et en basses pour un crescendo dans l'émotion.