Speed light

L'introduction est aérienne, douce, les synthés nous plongent dans un univers merveilleux. Puis le morceau s'intensifie en rythme et en basses pour un crescendo dans l'émotion.

Accueillis par son souffle rafraîchissant, nous nous laissons convaincre par ce court morceau dynamique, avec dominantes batterie et guitare électrique.

Une guitare acoustique jazzy chante sa ballade bientôt rejointe par batterie et piano joyeux. Le morceau, très années trente, est teinté de nostalgie sans manquer cependant de bonne humeur ni d'entrain.

Une introduction dans des tonalités cristallines, puis une ligne rythmique se déploie ensuite avec batterie, clavier, beats martelés, voix samplées hip hop : l'ensemble est dynamique.

De gros synthesizers et gros drums en rupture très "rentre dedans" tracent la ligne du morceau par endroits visité par une voix masculine samplée.

Keyboards et beats énergiques dans ce morceau électro qui envoie. Il sera approprié pour apporter dynamisme et tonus à n'importe quel montage.

Le morceau s'appuie sur une base binaire syncopée très répétitive. Un bruit constant de type "sirène d'alarme", mais dans les graves, ponctue le morceau qui alerte, sans précipitation cependant.

L'introduction est abrupte et plonge immédiatement dans un univers électro échevelé avec voix samplée, batterie et un ensemble de synthés pris de folie.

Un morceau électro break beat avec clavier, sons de cloches et futuristes, basse, batterie, voix samplées déformées. L'ensemble est à la fois dynamique, mystérieux, moderne.

Un swing jazz rétro, version électro, très années folles dans lequel les guitares électriques s'amusent avec un solo endiablé en deuxième partie et un saxophone canaille.