Burn the City 2

Ce morceau de trip-hop est très intéressant. Il se compose, dès le départ, d'une multitude de sonorités et de rythmes qui le rendent très agréable à écouter et très fluide.

L'écho de voix féminine est nostalgique, mais les xylos sont dansants dans une ambiance disco, ce qui crée un joli contraste propre à évoquer le passé sans tristesse.

Piano, batterie, flûte et cordes s'accordent dans une mélodie légère et enlevée que des xylos viennent allonger en milieu de morceau.

La guitare funky est accompagnée d'effets en écho sur une rythmique tonique. La mélodie revient, entraînante et source d'évasion.

Une guitare acoustique puis des percussions constituent la ligne de ce morceau à l'andalouse. La batterie soutient l'ensemble.

Le piano chante une mélodie nostalgique, sinon triste, dans une ambiance extrêmement calme et douce.

Le synthé plonge tout de suite dans une ambiance oppressante, un peu planante : après cette introduction, le morceau envoie sur un rythme déjanté avec synthé, batterie...

Des sons électro variés et entraînants avec des voix samplées rythmées : l'ensemble donne envie de bouger, de danser. Ce morceau pourra illustrer un montage sportif énergique...

Les percussions rythmées, les sons électro qui accrochent, qui dérapent, parfois robotiques, jouent pressés, sur un rythme syncopé et haché.

La douce mélodie de la guitare est soutenue par la batterie, les percussions et quelques envolées de flûte légères. Voilà qui garantit en effet un réveil tranquille, en même temps que prometteur.