Sphere

L'introduction est toute en basses profondes, avec beats énergiques entrecoupés de synthés à effet planant, le temps ralentit.

Aux keyboards qui cavalent répondent les sons longs et martelés au synthé, une batterie au rythme marqué. La tension est à son comble.

Une voix masculine fait une annonce comme dans un journal télévisé. Le piano jazzy joue avec le rythme de basse et batterie funk qui domine, les cordes ne sont pas en reste.

Un morceau électro énergique qui s'appuie sur une voix samplée et une grosse basse synthé ponctuée de scratches qui "déménagent".

L'ambiance mystérieuse et tendue de ce morceau transporte dans un monde souterrain inquiétant, angoissant, avec dans sa deuxième moitié, un déploiement plus aérien et ouvert.

Une introduction dynamique, la boîte à rythme envoie, batterie et basse donnent de la profondeur aux sons électro qui emmènent dans un univers à la fois énergique et futuriste.

La batterie impose sa ligne, clavier et guitare viennent flirter avec la rythmique de base. On se laisse volontiers entraîner par ce morceau tranquille, lancinant, insistant.

Dans un style pop rock musclé et passe-partout, l'artiste nous souhaite une bonne journée. Cette musique libre de droit de 3 minutes et 08 secondes met de bonne humeur !

Un clavier léger puis des basses "lourdes" qui accrochent, dans un dialogue tout au long du  morceau.

Vibraphone, laiton, contrebasse, batterie et percussions s'associent pour créer la mélodie jazz mystérieuse et sournoise de cette musique parfaite pour un  film d'espionnage ou de détective.