Nuit Triste

Une introduction tonique, cuivres puis guitare électrique nous entraînent dans une mélodie endiablée, style années 80 : le morceau mettra en valeur l'énergie qui se dégage des images d'un montage...

Les violons introduisent le morceau qui devient ensuite plus rock avec la batterie et les percussions arrivant en renfort et donnant une énergie supplémentaire.

Quelques notes pour démarrer dans un registre plutôt aigu, les instruments s'ajoutent peu à peu, plus graves, augmentant la tension et l'atmosphère angoissante.

Cette musique acoustique sud-américaine va chercher l'émotion aux sons de l'accordéon qui déroule sa mélodie langoureuse, lancinante sur une ligne rythmique de percussions soutenue et scandée.

Electro, le morceau débute d'un coup : boîtes à rythme, samples, sons d'ordinateur, quelques voix qui interviennent à intervalles réguliers.

La douce mélodie de la guitare est soutenue par la batterie, les percussions et quelques envolées de flûte légères. Voilà qui garantit en effet un réveil tranquille, en même temps que prometteur.

La guitare chante une mélodie répétitive, lancinante que viennent alléger les notes plus allègres au piano. Une trompette jette quelques plaintes.

C'est une ballade où les sons langoureux des violons se mêlent aux plaintes des keyboards en échos. L'ambiance est intimiste.

Quelques notes d'urgence au synthé suivies de samples inquiétants puis d'une ligne de batterie entraînante dans un rythme répétitif et oppressant.

Un morceau électro mêlant clavier et batterie sur un rythme plutôt jazzy, énergique, dansant. Des instruments à vent et sons robotiques ajoutent leur touche originale.